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Avec 1,35 % de taux moyen, les financements immobiliers approchent du record d’attractivité établi en 2016.

Des taux défiants toute concurrence

En matière d’immobilier, et surtout de financement, les années se suivent et se rassemblent. Si d’ordinaire, les conditions de financement fluctuent au fil des ans, depuis 2016, la météo est au beau fixe sur le marché du financement immobilier.

Si en novembre 2016, un record avait été atteint avec une moyenne de 1,33 % pour toutes les durées d’emprunt confondues et hors assurance. Depuis, cette moyenne calculée de manière mensuelle par l’Observatoire Crédit Logement, n’est guère repassé au-dessus des 1,60 %. Pour les Français, cela signifie que la période se prête à l’emprunt immobilier et donc à l’acquisition d’un bien. Certains spécialistes se sont mis le doigt dans l’œil en anticipant une remontée. Celle-ci n’a pas eu lieu car le rebond observé peut être qualifié de très léger.

La situation observée au cours des deux dernières années s’inscrit bien dans la durée. La preuve en est avec la dernière mesure calculée durant le mois d’avril 2019. Au cours de ces 30 jours, le taux moyen pratiqué pour un financement immobilier s’est établi à 1,35 %. Il s’agit d’un proche du niveau plancher de 2016. Le moment est donc venu pour devenir propriétaire de son logement.

C’est le moment d’investir dans la pierre

Sur le papier, l’embellie est bel et bien réelle. Mais ces conditions exceptionnelles s’adressent-elles à tout le monde ? Cela est moins sûr. Pour les profils dits « premium », les taux fixes pratiqués peuvent même passer sous la barre de 1 %. Ces profils haut de gamme sont généralement des ménages dont les revenus mensuels sont plutôt conséquents. Les banques leur font confiance car leurs revenus permettent de largement couvrir les mensualités de remboursement.

Avec ce type de clientèle, la limite des 33 % d’endettement qui est normalement recommandée peut, ici, être largement dépassée. En revanche pour les ménages dont la situation est plus « précaire », la donne change. En effet, les banques continuent d’exiger le montage d’un dossier solide. Pour cela, il est nécessaire de justifier d’une situation professionnelle stable et durable. Sans CDI (contrat de travail à durée indéterminée), l’accès au crédit peut se révéler plus compliqué.

Avec une situation et des revenus réguliers, il est possible de trouver des financements à des taux intéressants et cela même pour une durée d’emprunt s’échelonnant sur 20 ou 25 ans. Plus que jamais, les conditions sont réunies pour stimuler l’achat immobilier.