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Selon une récente étude publiée par l’INSEE, force est de constater que les Français préfèrent toujours l’immobilier à la Bourse et aux valeurs immobilières (actions, obligations, Sicav). L’année dernière, 63 % des Français possédaient un bien.

Actualité Finance

L’immobilier garde toujours une place importante dans le patrimoine des Français

Malgré la crise et l’incertitude économique, l’immobilier a le vent en poupe en France. Il garde une place importante dans le patrimoine des Français. En 2015, plus de 6 Français sur 10 étaient propriétaires d’un ou plusieurs biens immobiliers, selon les récentes publications de l’INSEE, soit une hausse d’environ 1 % par rapport à 2010.

L'Institut national de la statistique et des études économiques montre également que 58,9 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale ou accèdent à la propriété, c’est un point de plus qu’en 2010.

Par ailleurs, toujours selon l’INSEE, plus de 80 % des ménages achètent leur résidence principale souvent à crédit, une tendance qui devrait s’accentuer dans les semaines et mois à venir compte tenu de l’attractivité du prêt immobilier.

Quant aux achats au comptant, ils ne concernent que 13 % des transactions. L’héritage ou la donation diminuent légèrement et ne concernent plus que 5 % des acquisitions alors que le viager reste très marginal.

Les valeurs immobilières et les actions sont délaissées

Selon l’INSEE, plus de 36 % des foyers métropolitains possèdent au moins un contrat d’assurance-vie. Certes, cette proportion a progressé de près de 2 % entre 2010 et 2015, mais elle est moins marquée par rapport à la période 2004 et 2010 (+8,5 %).

En fait, même si l’assurance-vie offre aux épargnants une fiscalité attractive, force est de constater ce produit est de plus en plus délaissé. Pour les valeurs immobilières (actions, Sicav, obligations…) seuls 16,5 % des Français en détiennent, contre plus de 24 % en 2004.

Avec l’incertitude économique et la volatilité des marchés, les ménages ont aussi délaissé les valeurs risquées. De ce fait, les détentions de comptes-titres ordinaires continuent aussi de diminuer, moins de 10 % des Français en possèdent, contre près de 12 % en 2010. Même le plan d’épargne en actions (PEA) n’a plus la côte, malgré ses avantages fiscaux.