Les niveaux exceptionnellement bas du taux d’intérêt immobilier ont permis à de nombreux emprunteurs de faire un rachat de crédit en 2016. Cependant, quelles sont les faits marquants de cette année ? Finaprêts s’est penché sur quelques tendances envisageables pour l’année prochaine.
A partir du 1er janvier 2017, une grande majorité des banques devraient augmenter leurs tarifs. Le niveau actuel des taux d’intérêt des crédits immobiliers serait la principale cause de cette hausse.
Permettant aux propriétaires en difficulté financière de céder temporairement leur logement à d’autres particuliers investisseurs tout en continuant à l’occuper contre le paiement d’un loyer, le portage immobilier a le vent en poupe. Cependant, quel est son principe ?
Selon une récente étude, près de 20 % des Français reconnaissent être dans le rouge tous les mois. Il manquerait plus de 460 euros en moyenne aux Français pour vivre confortablement.
Lorsque les spécialistes croient que les taux d’intérêt des crédits immobiliers ont atteint leur plancher, ils continuent de chuter. En ce début de septembre, pour capter de nouveaux clients, certaines banques ont baissé leurs barèmes de 0,4 % pour tous les profils emprunteurs. Une tendance qui surprend.
Depuis le 1er janvier 2016, les propriétaires bénéficiaires d’un éco-PTZ, peuvent en demander un deuxième à titre complémentaire pour le même logement afin de financer des travaux de rénovation énergétique de leur logement. Un récent décret vient de préciser les modalités d’application de ce dispositif.
Contrairement au printemps, la baisse des taux d’intérêt immobilier semble s’accélérée en cette période estivale. Cependant, quelles sont les raisons de cette tendance inédite ?
Selon les dernières publications de l’Association Française des sociétés financières (ASF) les opérations de location de véhicule avec option d’achat ont bondi de 40 % au premier semestre 2016 par rapport à la même période de 2015.
Très protectrice et souvent exigée par les banques, l’assurance emprunteur garantit le remboursement du crédit en cas d’invalidité, d’incapacité, de décès ou encore de perte d’emploi. Cependant, peut-on se passer de cette protection dans un rachat de crédit ?
Selon une récente enquête, 61 % des Français dépassent la limite autorisée par leur banque au moins une fois par an. Les consommateurs sont même 25 % à le faire tous les mois.